Une noisette, des remerciements
Entre deux noisettes, j’avais décidé que mon prochain plat de choix, serait un billet sur Cannes et son affiche 2014, mais recevant aujourd’hui un festival de messages, il est logique/automagique/biologique/ voire si j’osais, paléontologique (ça ne veut rien dire mais peu importe), de consacrer une petite ode à la joie (et ce n’est pas Beethoven qui me contredira) envers autant de gentillesse.
Une
gentillesse qui coule doucement tweets après tweets, messages après
messages, textos après textos, comme l’eau du ruisseau devant le
chaland que je suis sans être tout à fait péniche...
Bien que
se dégage une impression d’être tous embarqués sur un même
bateau, pour une croisière de légèreté, de bienveillance où les
cygnes organisent un ballet sans apporter de casse-noisettes pour
nous les briser, ok ça devient moins poétique mais faut savoir
revenir à la réalité, tout en restant « Tchaikovskyien » !
Oui, je
m’égare un peu, mais si peu. Mais de branches en branches, au
moment de ce « printemps qui commence, portant l’espérance,
ton souffle qui passe, de la terre qui passe, efface les jours
malheureux... » ... pour la suite je vous conseille la version avec
Maria Callas jamais inégalée !
Preuve
que de temps en temps, il faut savoir raison garder, mettre à part,
voir ensevelir les noisettes nauséabondes et ne garder que celles
qui vous apportent fraîcheur et légèreté. Merci infiniment du
fond de la noisette pour votre fidélité chers zamis Twittériens/Facebookiens, et pour certains, amis dans la vraie vie,
je ne saurai jamais être assez reconnaissant pour les bouffées
d’optimisme que vous apportez à un écureuil parfois bien fatigué.
Que la noisette vous soit prospère et youp la boum !
(Les décors sont d'Elisabeth Ehrmann)
1 commentaire:
mais ce fut un plaisir chère amie .......
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